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Le MaaS en questions

Vous avez aimé le concept de smart city ? Vous adorerez celui de MaaS. Ce nouveau concept propose une approche de la mobilité qui mixe offres publiques et privées, individuelles et collectives. Comme le précédent, sa définition varie selon les interlocuteurs. Comme le précédent, il est avant tout mis en avant par ceux qui vendent des solutions technologiques aux villes. Cet article vous propose de décrypter le sujet du MaaS : s’agit-il d’une mode passagère ou d’une tendance lourde ? Peut-il permettre de changer les comportements de mobilités ? À quelles conditions de tels projets peuvent-ils réussir ?

Ne me parlez plus de modes de transport

Le monde de la mobilité change. Et pour une fois c’est en France que cela se passe. Blablacar, le service de covoiturage n°1 mondial, absorbe Ouibus le service d’autocars. SNCF entre au capital de Blablacar. Si ce rapprochement n’est pas une révolution en terme de nombre de personnes transportées, il s’agit d’une étape importante dans l’influence grandissante des plateformes de services dans la mobilité. Alors que tous les transporteurs veulent faire de « la mobilité comme service », nous vous proposons d’étudier plus en détail ce que signifie cette opération pour les acteurs du domaine. Prenez un café ou un thé, posez votre dos contre le dossier du fauteuil, et allons-y.

Les 10 ans qui ont changé le monde

Qui se souvient du temps où les téléphones servaient à téléphoner ? Dix ans nous séparent du 10 juillet 2008, jour de lancement de l’Appstore d’Apple. Lancé avec 500 applications, il en compte aujourd’hui 2 millions et a généré plus de 100 milliards de dollars de recettes pour leurs éditeurs. Cette plateforme a fait bien plus que l’objectif initial de Steve Jobs : “renforcer l’iPhone avec des contenus délivrés par internet”. Elle a totalement bouleversé la manière de créer de la valeur dans l’économie d’aujourd’hui.

L’histoire méconnue de la voiture autonome

La voiture sans conducteur est passée en quelques années de la rubrique « science-fiction » à celle des actualités. Nous suivons ses progrès au rythme des alliances industrielles et avancées réglementaires dans le monde entier. Pourtant, peu de gens savent que rien n’aurait eu lieu sans une course automobile complètement déjantée dans le désert du Nevada. Oui, il y a 13 ans à peine, une bande de fous a tenté avec des technologies rudimentaires de faire rouler voitures, camions et même une moto sans le moindre conducteur à bord. Au-delà des résultats, cette compétition a permis de révéler une communauté qui allait par la suite faire de la Silicon Valley le berceau de la voiture du futur.

Lost in Automation

Électrique, connectée, partagée, et bientôt…autonome ! Alors qu’on la croyait enterrée par le réchauffement climatique et la crise financière, l’automobile semble redevenue un symbole du futur. Qu’importe si les technologies ne sont pas prêtes et les modèles économiques absents, la voiture autonome est annoncée comme le nouveau phare de la modernité. Pourtant, de nombreux freins réglementaires, sociaux et financier restent encore à lever. Le moteur n’a pas remplacé le cheval, et l’ordinateur ne remplacera pas le conducteur. Si la voiture autonome voit le jour, ce sera nécessairement dans un monde totalement différent. Et ce monde reste encore très largement à inventer et réaliser. Pour le meilleur, ou pour le pire.

Laissez danser les fous sur la colline

Deuxième partie de notre article : « Comment réussir à échouer ? ». Après avoir étudié les facteurs psychologiques de l’aversion au risque, nous analysons ici comment une entreprise peut y pallier. En créant un environnement favorable à la créativité et à l’apprentissage, certaines parviennent à développer une culture du risque tout en « passant à l’échelle ». L’exemple que nous avons choisi – Google – n’est pas anodin. Malgré sa taille, le géant de Mountain View a réussi à maintenir une vision et une culture exceptionnelles, que nous vous proposons d’explorer.